Il n’a pas fallu longtemps à F. Pérol et à BPCE pour comprendre et tirer tous les avantages de la loi dite de « sécurisation de l’emploi » issue de l’accord interprofessionnel de janvier 2013 combattu et dénoncé par la CGT.
La négociation de « l’accord relatif à l’emploi » à Natixis cumule les mauvais coups : remise en cause des garanties individuelles et collectives des salariés, mobilité contrainte sous menace de licenciement.
Méthode de négociation et contenu ont vocation à s’étendre à toutes les entreprises du groupe. Il nous faut une boite à outil revendique F. Pérol.
Avec les réorganisations en cours et à venir dans les caisses, à coup sûr, les salarié-e-s ont de quoi se mobiliser – sans tarder – avec la CGT.